Au
commencement était la Parole, et la Parole
était avec Dieu, et la Parole était
Dieu. Elle était au commencement avec Dieu.
Toutes choses ont été faites par elle,
et rien de ce qui a été fait n’a
été fait sans elle.
Evangile
de Jean chp 1 : 1 à 3
Chapitre
4 : Des Etoiles et des Constellations
Nous
allons voir ensemble dans ce chapitre consacré
aux étoiles et plus particulièrement aux
constellations que la parole de Dieu est partout, à
portée de main. En effet, "Le
ciel raconte la gloire de Dieu, toutes les étoiles
annoncent ce qu’il a fait" Psaumes
19 v: 1.Que celui qui a des yeux
pour voir, regarde ce que Dieu a promis aux nations
et cela bien avant leurs créations.
Dans
la première mention faite concernant «
les corps célestes » le dessein du Créateur
se trouve clairement exposé
( Genèse 1 v :14-19 :
« Dieu dit : qu’il
y ait des luminaires dans l’étendue du
ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit
; que ce soient des signes, pour marquer les époques,
les jours et les années ; et qu’ils servent
de luminaires dans l’étendue du ciel, pour
éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit
les deux grands luminaires, le plus grand luminaire
pour présider au jour, le plus petit luminaire
pour présider à la nuit ; il fit aussi
les étoiles. Dieu les plaça dans l’étendue
du ciel, pour éclairer la terre, pour présider
au jour et à la nuit, et pour séparer
la lumière d’avec les ténèbres.
Dieu vit que cela était bon. Ainsi il y eut un
soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième
jour. ») Il révèle
le fait qu’ils aient été crées,
non seulement pour établir une séparation
entre la lumière et les ténèbres
( verset 14 ) et pour éclairer la Terre, mais
encore pour constituer des «
signes » ; «
Que ce soit des signes pour marquer les époques,
les jours et les années. » (
verset 14 )
Le mot signe hébreux «
athah », signifie
venir. Il s’agit
donc du signe de quelque chose ou de quelqu’un
qui vient. Ceux qui peuvent les comprendre sont éclairés
moralement ; quant aux autres ils peuvent les redouter,
comme le déclare Jérémie
10 v : 2
: « N’imitez
pas les nations et ne craignez pas les signes du ciel,
parce que les nations les craignent, car les coutumes
des peuples ne sont que vanité ».
Les
comètes et les éclipses étaient
des signes craint par de nombreux peuples durant des
siècles
Les
étoiles ont été comptées
et nommées. Il y a douze signes au Zodiaque,
ces signes sont appelés « étoiles
» Dans le verset 9 de Genèse 37, onze de
ces signes se prosternèrent devant joseph qui
était le douzième. Le mot zodiaque signifie
« degrés » ou « marches »
et constitue les phases du soleil à travers le
ciel, correspondant aux douze mois de l’année. « Il compte le nombre
des étoiles et leur donne à toutes des
noms » Psaumes 147 v : 4
La plupart de ces noms ont été
perdus, mais cependant, plus d’une centaine d’entre
eux ont été conservé par la langue
arabe et par l’hébreu et sont même
encore employés par nos astronomes modernes,
bien que leur signification leur reste inconnue. Plusieurs
de ces noms sont employés dans les Saintes Ecritures
quoique leur traduction soit quelque peu spéculative
; par exemple dans Job
9 v: 9
(hébreu : « ash » acturus : l’ourse)
; « Késil » : Orion ; « Kimah
» : les pléiades.
Dans Job 38 v :31-32, le mot hébreu « mazaroth
» désigne les signes du « zodiaque
»
Voir aussi des références aux corps célestes
dans : 2
Rois 23 : 5 ; Esaïe
13 v: 10 et
Amos
5 v: 8
Ces
douze signes ainsi que leurs noms nous reportent à
la fondation du monde. La Tradition Juive, conservée
par l’historien Flavius Josèphe, assure
que cette Astronomie Biblique date de Sete et d’Hénoch
(Genèse
5 v: 3 et 21)
La preuve en apparaît dès
Genèse
11 v: 4 où le
texte porte cette déclaration : «
… une tour dont le sommet touche le ciel »
; ou plus exactement, c’est-à-dire
littéralement selon l’original hébreu
« une tour qui avait
son sommet avec le ciel ». Il
n’y a absolument rien dans le texte original au
sujet du mot ajouté par les traducteurs
«touche au ciel»,
expression réelle
« avec le ciel à
son sommet » font
allusion aux signes du zodiaque représentés
au sommet de la tour de Babel, tout comme ils étaient
représentés dans les Temples Egyptiens
d’Endérah et d’Esnèh.
Les « Tablettes de la Création
» babyloniennes en font, elles aussi,
allusion bien que leur signification primitive ait été
soit corrompue, soit perdue entièrement. Il en
est de même de la Mythologie grecque qui n’est
qu’une corruption de la vérité primitive
égarée par la suite des temps ou pervertie
à dessein.
Il faut nous souvenir que les vérités
« écrites » (la Bible) commencèrent
avec Moïse environ 1400 ans avant Jésus-Christ.
Ainsi, pendant plus de 2500 ans la grande espérance
donnée par Dieu dans Genèse
3 v: 15, se trouva
conservé dans les noms des étoiles et
dans leurs groupes en signes et constellations.
Voici
l 'ensemble des constellations qui composent notre ciel.
Hémisphère
Nord - le ciel Boréal
Hémisphère
Sud - le ciel Austral
Ces
groupements sont établis d’une façon
tout à fait arbitraire, car il n’y a rien
dans la position des étoiles qui puissent suggérer
les imitations tracées autour d’elles à
l’origine qui furent, d’autre part, postérieures
à leurs respectives désignations nominatives.
Ainsi la Vérité fut « enchâssée
» et écrite dans le ciel sidéral
où aucune main ne pouvait parvenir. Plus tard,
quand Israël posséda les « Paroles
de la Vérité Ecrite » les signes
du ciel perdirent leur intérêt. C’est
pour cette raison que l’Enseignement d’origine
de la voûte céleste s’effaça
graduellement et que les hommes bâtirent leurs
cosmogonies et leurs mythologies sur le reste de ce
qu’ils avaient recueilli de la Tradition.
Le Psaume
19, présente un témoignage
éclatant à ces deux Livres de la Révélation
; c’est ce qui explique le changement soudain
de thème au verset 8. Ce changement confond encore
et rend perplexes les commentateurs les plus habiles.
L’enseignement apparaît dans la structure
du Psaumes 19 :
Dans
cette structure, chaque ligne accentue l’élaboration
du dessein divin. Il est remarqué (à l’encontre
de ce qu’on pourrait supposer) que tous les termes
de la première moitié du Psaume sont littéraires,
alors que tous ceux de la dernière partie sont
d’origine astronautique, unissant ainsi le tout
en un ensemble harmonieux.
Au sujet de la signification des mots il faut se rapporter
aux expressions du Psaume lui-même. Nous noterons
seulement que la première partie ne fait pas,
positivement, allusion aux merveilles de la création,
mais plutôt, à l’éloquence
de leur enseignement et de leur révélation.
Ils «racontent» la gloire de Dieu. (Littéralement
« publier » comme dans les Psaume
71 v: 15 et Psaume
97 v: 6)
Ils « prophétisent », jour après
jour, nuit après nuit ; et que prophétisent-ils
?
La réponse à cette question se trouve
dans Genèse
3 v: 15. La
Grande Vérité Centrale de toute Prophétie
est la venu de Celui qui, bien qu’IL doive souffrir,
écrasera finalement la tête du Serpent
Ancien, le Diable, Satan.
On pourrait essayer de savoir s'il est possible de donner
une date à la première page de ce Livre
mystérieux et où commence le cercle des
signes du zodiaque ?
Par la précession des équinoxes,
le soleil glisse insensiblement et graduellement ; il
change donc imperceptiblement sa position chaque année
de façon à commencer l’année
dans un signe du zodiaque différent, environ
tous les 2000 ans. Ceci était prévu par
la Sagesse divine ; il était prévu, aussi
que les générations successives ne sauraient
ni où, ni quand, le soleil a commencé
sa course et où se trouve le début de
l’enseignement de ce Livre Céleste ; en
un mot, pourrions-nous assigner une date à la
première page de la Genèse ?
Il
sembla que le sphinx (photo ci-contre) fut conçu
en vue de constituer un mémorial pour cela. Notons
qu’il a une tête de femme et la queue d’un
lion et il se trouve que le Livre écrit dans
le ciel commence par le signe de la vierge et se termine
par celui du lion. Le mot sphinx vient du grec «
sphingo » qui signifie « joindre
», « lier », « réunir
» et ce sphinx est l’emblème
de la réunion des deux extrémités
du ciel sidéral.
Les
signes du zodiaque sont au nombre de 12. Ils sont regroupés
en 3 livres de 4 signes, représentant la Vérité
Divine oeuvrant dans les cieux et sur la terre. Chaque
livre comprend donc 4 signes qui sont agencés
exactement de la même façon dans leur structure
comme le montre le Psaumes 19. Ainsi nous avons les
3 livres suivant :